Pour la France, renvoyer la présidentielle à 2018 «n'est pas une réponse» à la crise | |
Radio Okapi - 18 octobre 2016 | |
Le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault a estimé mardi que la décision de reporter à avril 2018 l'élection présidentielle en République démocratique du Congo, prise sans l'aval d’une bonne partie de l'opposition, n'était « pas une réponse à la crise ». | |
Dialogue: l'accord politique adopté «par acclamation» | |
Radio Okapi - 17 octobre 2016 | |
Les participants au dialogue ont adopté lundi 17 octobre « par acclamation » l’accord politique pour l’organisation des prochaines élections en RDC. Dans cet accord, indique un communiqué du facilitateur Edem Kodjo, les parties prenantes au forum ont convenu « de préparer et d’organiser les élections présidentielle, législatives et provinciales dans un délai de 6 mois dès la convocation des scrutins le 30 octobre 2017 ». | |
Joseph Olenghankoy parle de 75 personnes tuées lors des manifestations de Kinshasa | |
Radio Okapi - 21 septembre 2016 | |
Les manifestations du Rassemblement ont enregistré des morts à Kinshasa. Le gouvernement avance un bilan de dix-sept décès alors que l’opposant Joseph Olenghankoy, l’un des organisateurs, parle de 75 personnes tuées. | |
Dialogue : la CENCO suspend sa participation pour « faire le deuil et rechercher un consensus » | |
Radio Okapi - 20 septembre 2016 | |
La Commission Episcopale Nationale du Congo (CENCO) suspend sa participation au dialogue politique en cours en RDC pour faire le deuil des personnes tuées lundi dans des violences qui ont éclaté ente manifestants de l’opposition et forces de l’ordre et rechercher un consensus, indique l’abbé Donatien Nshole, secrétaire général adjoint de cette structure. | |
Manifestation de l'opposition à Kinshasa : les sièges des partis politiques incendiés | |
Radio Okapi - 20 septembre 2016 | |
Plusieurs sièges des partis politiques de la Majorité présidentielle ont été incendiés lundi 19 septembre à Kinshasa, par des manifestants de l’opposition qui réclamaient la convocation du corps électoral pour le scrutin présidentiel. | |
Situation très tendue à Kinshasa au deuxième jour des manifestations populaires | |
Radio Okapi - 20 septembre 2016 | |
La situation reste toujours tendue dans la ville de Kinshasa ce mardi 20 septembre 2016 au lendemain des échauffourées qui ont fait au moins dix-sept morts à la suite d’un appel à la marche de l’opposition pour exiger la convocation du corps électoral en vue du scrutin présidentiel. | |
Violences à Kinshasa: Evariste Boshab annonce un bilan provisoire de 17 morts | |
Radio Okapi - 19 septembre 2016 | |
Le ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab, a annoncé que les violences qui ont secoué Kinshasa suite à la manifestation de l’opposition ont fait 17 morts dont 3 policiers et 14 civils ainsi que des dégâts matériels importants. Les opposants qui ont organisé la manifestation ont livré un bilan plus élevé, 25 morts. | |
Jean Lucien Busa : « Le président Kabila place la RDC dans une perspective du chaos » | |
Radio Okapi - 14 décembre 2015 | |
« Le président Kabila place la République démocratique du Congo dans une perspective de chaos et de confusion totale », a affirmé lundi 14 décembre, le président du Courant des démocrates rénovateurs (CDER), Jean Lucien Busa. Il réagissait au discours du chef de l’Etat sur l’état de la nation, prononcé devant les deux chambres réunies en congrès. | |
Joseph Kabila veut un processus électoral «fruit d'un consensus librement dégagé» | |
Radio Okapi - 14 décembre 2015 | |
« J’en appelle au sens élevé des responsabilités de tous afin qu’au sortir du dialogue national nous soyons plus unis dans la mise en œuvre d’un processus électoral authentiquement congolais, fruit d’un consensus librement dégagé », a déclaré lundi 14 décembre dans son discours sur l’état de la nation prononcé devant le Parlement réuni en congrès. | |
Franck Diongo : Kabila ne rassure pas la classe politique | |
Le Phare - 7 octobre 2015 | |
L’engagement solennel de Joseph Kabila de respecter scrupuleusement la Constitution, qui lui interdit de briguer un troisième mandat, ne rassure pas les opposants, qui militent jour et nuit pour la passation civilisée du pouvoir à la magistrature suprême du pays, le 20 décembre 2016. |