Le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, a commis des « exécutions sommaires » d'enfants à Bukavu, dans l'est de la République démocratique du Congo, rapporte ce mardi 18 février le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme.
Le tribunal de grande instance Kinshasa/Gombe a rendu son verdict dans l'affaire de détournement des fonds alloués au programme d'urgence de 100 jours du chef de l'Etat. Les prévenus Vital Kamerhe et Samih Jammal écopent de vingt des travaux forcés.
Vital Kamerhe, lors de sa prise de parole avant la clôture des plaidoiries ce jeudi 11 juin, a affirmé que les avocats de la République et le ministère public n’ont pas démontré les faits de détournement mis à sa charge.
Lors de l’audience de ce jeudi 11 juin à la prison centrale, la partie civile a demandé une condamnation maximale des prévenus Kamerhe, Jammal et Muhima pour corruption, blanchiment et détournement de deniers publics. Vital Kamerhe et Jammal Samih doivent rembourser l’Etat congolais à plus de 47 millions de dollars américains et de dédommager l’Etat à hauteur de 100 millions USD, a requis Me Coco Kayudi.
La première audience publique dans le procès qui oppose le ministère public aux prévenus Vital Kamerhe, Jammal Samih ainsi que Jeannot Muhima a eu lieu ce lundi 11 mai à la prison centrale de Makala. Il s’est agi d’une audience de confirmation des charges et d'identification des parties au procès. « Je n’étais pas le seul superviseur du programme de 100 jours du Chef de l’Etat », s’est défendu M. Kamerhe.