KINSHASA, 16 août 2006 (AFP) - L'un des 32 candidats à l'élection présidentielle du 30 juillet en République démocratique du Congo (RDC), Joseph "La communauté internationale a fait semblant de nous associer dans un processus électoral, mais c'était au fond pour nous diviser entre nous", a "Ce jeu, très nocif, conduira inexorablement le pays à sa perte", a-t-il estimé, demandant à la classe politique congolaise de se mobiliser pour ne pas "Nous devons refuser d'être des sous-hommes au service des ambassadeurs qui n'aiment pas notre pays et qui n'ont aucun respect pour les Africains", a Les Congolais étaient appelés le 30 juillet à élire leur président et leurs députés lors des premiers scrutins libres et démocratiques en plus de quarante Selon des résultats partiels de la présidentielle qui portent sur 40% des inscrits et qui ont été rendus publics par la Commission électorale Le processus électoral se déroule sous haute sécurité en RDC, qui sort de près de cinq années de guerre (1998-2003): environ 17.600 Casques bleus sont
Olenghankoy, a accusé mercredi la communauté internationale de "diviser" la classe politique congolaise, dans une déclaration à l'AFP.
affirmé M. Olenghankoy.
tomber dans le "piège" de la communauté internationale.
ajouté le président des Forces novatrices pour l'union et la solidarité (Fonus, opposition).
ans dans l'ex-Zaïre.
indépendante (CEI), le chef de l'Etat sortant Joseph Kabila est largement en tête avec 54,9% des suffrages exprimés, devant le vice-président Jean-Pierre
Bemba (16,7%). M. Olenghankoy recueille moins de 2% des voix, toujours selon ces données.
déployés dans le pays, et un millier de militaires d'une force européenne sont basés dans la capitale Kinshasa.