La RDC s'est dotée depuis ce 18 février 2006 d'une nouvelle Constitution devant régir la troisième République. Le chef de l'Etat congolais, Joseph Kabila l'a promulguée ce matin, en présence de plusieurs invités de marque venus d'Afrique et du monde, a constaté radiookapi.net

Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a invité jeudi 16 férvrier 2006 au Palais de la Nation, l'Archevêque sud-coréen, le Dr.

Réunis en congrès à la Foire internationale de Kinshasa, quelque 4 105 délégués du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) ont désigné ce lundi 7 février 2006 Joseph Kabila, initiateur de ce parti, candidat à l'élection présidentielle.

Le Président de la République Joseph Kabila a visité, mercredi 4 janvier 2005, quelques chantiers de la capitale en vue de s'enquérir de l'évolution des travaux effectués par la voirie urbaine destinés à réhabiliter certaines avenues devenues presque impraticable à la suite des nids de poule et autres bourbiers.

Les 25 millions d'électeurs de la République Démocratique du Congo (RDC) favoriseront la tenue des premières élections présidentielles et parlementaires s'ils acceptent le projet de constitution qui leur sera soumis dimanche, lors d'un referendum, a déclaré un diplomate en poste à Kinshasa.

Attendu depuis plusieurs mois, c'est enfin vendredi 16 décembre 2005 à 11 heures locales que le Chef de l'Etat, Joseph Kabila a foulé le sol de Bukavu dans la Province du Sud-Kivu.

Des députés membres du parti de l'ancien président congolais Joseph Kabila ont quitté lundi l'Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement, bloquant ainsi le vote de la loi d'amnistie.

Sur initiative de l'Union nationale de la presse et d'organisations syndicales du secteur, une marche pacifique de solidarité se tiendra lundi à Kinshasa suite à l'assassinat du journaliste Franck Kangundu

Les écoles publiques de la République démocratique du Congo (RDC) ont rouvert leurs portes après la suspension de la grève des enseignants qui avait démarré le 5 septembre.

Un haut responsable du gouvernement rwandais a nié jeudi les allégations selon lesquelles l'armée était responsable du massacre des centaines de personnes dont les corps ont été récemment retrouvés dans une fosse commune.