Une journée de concertation a réuni samedi dernier à Lodja, des responsables locaux de certains grands partis politiques. A l'initiative de la Commission Justice et Paix du diocèse de Tshumbe.

48 heures après avoir promulgué la nouvelle Constitution de la RDCongo, le Président de la République, Joseph Kabila, s'est rendu à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu où il est arrivé ce lundi 20 février 2006 à 16 heures 30 locale, sous une pluie battante.

Les choses semblent désormais s'accélérer. Après la promulgation samedi dernier par le chef de l'Etat de la nouvelle constitution, il reste maintenant au parlement d'adopter la loi électorale.

La RDC s'est dotée depuis ce 18 février 2006 d'une nouvelle Constitution devant régir la troisième République. Le chef de l'Etat congolais, Joseph Kabila l'a promulguée ce matin, en présence de plusieurs invités de marque venus d'Afrique et du monde, a constaté radiookapi.net

Le président de la Commission électorale indépendante (CEI), l'abbé Apollinaire Malu-Malu est pour un consensus national sur le calendrier électoral définitif. Il l'a déclaré hier vendredi, au cours d'une conférence de presse de la MONUC tenue à Lubumbashi, rapporte radiookapi.net

La loi électorale encore sous examen au parlement n'arrange pas les candidats indépendants aux prochaines élections. Le Réseau des acteurs du développement (Rad) monte au créneau et s'oppose au scrutin proportionnel prévu pour les législatives.

Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a invité jeudi 16 férvrier 2006 au Palais de la Nation, l'Archevêque sud-coréen, le Dr.

Ces militaires et leurs familles ont quitté l'aéroport lundi dernier pour s'installer dans le hangar de l'Office des Routes à Katindo. D'autres encore ont occupé les salles de classe de l'Institut Ndaura, école proche du hangar.

Architecte, homme politique et professeur à l'Institut des bâtiments et travaux publics, Ferdinand Tala Ngai s'est éteint lundi 13 février 2006 à Kinshasa, à l'âge de 67 ans.

Les conditions d'incarcération au cachot de la coordination des unités intégrées de la police nationale laissent à désirer. Selon des témoins, des dizaines des prévenus y passent des semaines, voire des mois de calvaire sans être transférés aux instances compétentes pour y être jugés.