Après la diffusion de messages suscitant la haine et la violence dans le style rwandais' - où la radio a joué un rôle fort décisif dans le génocide de 1994 - la Mission de paix de l'Onu en République démocratique du Congo (Monuc) a interrompu sa collaboration avec un émetteur radiotélévisé de Lumumbashi.

ProCredit Bank Congo, la première banque privée de micro-finance de la RDC, vient d'ouvrir à Kinshasa.

L'association d'aide humanitaire internationale Solidarités a inauguré mercredi un réseau de distribution d'eau potable destiné à alimenter 170 000 personnes dans la province du Nord Kivu, dans la République démocratique du Congo.

Le vote pour le référendum constitutionnel congolais tant attendu sera renvoyé du 28 novembre au 18 décembre: la décision a été communiquée au cours d'une transmission radiophonique par le président de la Commission électorale indépendante (Cei), père Apollinaire Malu Malu, qui n'a pas caché son optimisme en vue de l'échéance électorale de l'année prochaine

Au moins 15 personnes, dont 6 enfants, ont été tuées dimanche soir dans l'est de la République Démocratique du Congo dans l'attaque du village de Buba, à 80 kilomètres au sud-ouest de Bukavu, le chef-lieu du Sud-Kivu.

Des milliers de civils ont commencé à arriver lundi dans la ville de Walungu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), après l'attaque des quatre villages voisins, au cours desquelles au moins 24 civils ont été tués à l'arme blanche.

Monseigneur Charles Kambale Mbogha, archevêque métropolitain de Bukavu (nord-est de la République démocratique du Congo) est mort hier matin dans la clinique de l'Hôpital Majeur local.

Les quelque 300 ou 400 rebelles ougandais de l'Armée de résistance du seigneur (Lord's resistance army, Lra) signalés depuis deux semaines dans le nord-est de la République Démocratique du Congo sont introuvables dans la zone de Faradje.

Douze militaires congolais accusés d'avoir violé au moins une centaine de femmes dans la localité de Songo-Moyo en décembre 2003, année de conclusion - du moins sur le papier, - de la guerre déclenchée en République Démocratique du Congo (Rdc) en 1998, ont comparu à la barre d'une cour martiale pour l'ouverture de leur procès.

Un haut responsable du gouvernement rwandais a nié jeudi les allégations selon lesquelles l'armée était responsable du massacre des centaines de personnes dont les corps ont été récemment retrouvés dans une fosse commune.